J’ai lu, j’ai vu, j’ai entendu, j’ai joué #49

Voici ma revue de lecture/visionnage/écoute/jeu des derniers jours.

N’hésitez pas à commenter mes retours, à me proposer des choses proches ou qui pourraient m’intéresser dans les commentaires !

Generation Gone, tome 1

  • Découverte totale dans les rayonnages de la médiathèque
  • Des artistes (André Lima Araujo, Ales Kot) inconnus au bataillon, mais un pitch qui fait partie de mes marottes : « des jeunes avec des pouvoirs, menacés par les autorités »
  • Très moderne. Avant d’obtenir leurs pouvoirs, le trio est déjà engagé, pour des raisons différentes pour chacun d’eux.
  • Des pouvoirs intéressants
  • Des militaires secrets et méchants, mais avec une personnalité
  • Un éclatement intéressant de l’histoire à mi-chemin
  • Gore
  • Une conclusion surprenante, qui donne envie de poursuivre l’aventure

Batman Ego

  • Pas un album « saga complète », mais un album hommage à Darwyn Cooke en fait
  • L’histoire éponyme qui s’intéresse à la dualité Batman/Wayne est intéressante, mais pas si marquante.
  • Un graphisme qui change, avec une vraie patte, très proche de la série animée
  • Des épisodes annexes plus dispensables (celui autour de la bombe m’a vraiment pas accroché)
  • Un album pas des plus palpitants

Le Bureau des Légendes, saisons 2 et 3

  • Les épisodes s’enchaînent avec grand plaisir. Le rythme est mieux maîtrisé qu’en saison 1, et les cliffhangers accrochent vraiment.
  • Des intrigues plus globales, mieux ficelées, plus tendues. On est moins dans le « Malotru’s Show » (mais il est toujours au centre).
  • Des personnages du Bureau très intéressants, qui évoluent.
  • Des intrigues qui semblent réalistes, avec des situations très plausibles et très intégrées dans l’air du temps.
  • Un dépaysement et des voyages dans de nouvelles contrées.
  • De l’espionnage « bas niveau », bien retranscrit, avec son lot d’humain.
  • Une saison 3 qui pourrait sonner comme la fin d’une époque, voire la fin de la série, avec un grand nombre d’arcs qui se ferment (mais il y a une saison 4, que j’ai commencé)
  • Une bande-son vraiment réussie.

Deliverance

  • Retour au cinéma des années 70. Une autre façon de concevoir les films.
  • Un visionnage « de travail », parce que je bosse sur un jeu qui s’en inspire un peu.
  • Une introduction franchement réussie. En deux scènes (le trajet en voiture, le « village »), on cerne tout de suite les 4 protagonistes.
  • Des scènes cultes (le duel de banjo, la « truie », les rapides…)
  • Un film presque naturaliste. Pas beaucoup d’effets sonores, une mise en scène très brute, avec de longs plans.
  • Brut. Violent. Dérangeant.
  • Ca dérape vite. Et ensuite, ça s’enchaîne.
  • Le film ne cherche pas à tout expliquer. Il y a des flous. Et c’est tout aussi bien.

The Burning Room, Michael Connelly

  • Encore et toujours, je reviens à Bosch
  • Encore une fois, Bosch n’est toujours pas à la retraite, mais a encore un nouveau partenaire
  • Encore une fois, une vieille affaire se retrouve mêlée à des histoires politiques de la bonne vieille Los Angeles
  • Mais malgré tout, ça se dévore, encore une fois.
  • Une plongée dans un pan de Los Angeles que je découvrais (les mariachis, la communauté latino…)
  • Le personnage principal évolue, ses relations avec les autres aussi, et la ville et le travail évoluent aussi.
  • L’usage à nouveau trop présent des armes à feu et de la mort de certains suspects gâche la fin.
  • On y reviendra, à ce Bosch-verse.

Chew, volumes 3-4-5

  • On les avale, on les enchaîne. Pas besoin d’attendre plusieurs mois entre chaque, comme à l’époque.
  • Je redécouvre des intrigues que j’avais oublié, et c’est un vrai plaisir
  • Certains personnages sont bien plus présents que dans mon souvenir
  • Le dessin est toujours aussi kiffant, avec ces easter eggs, ces planches iconiques qui reviennent
  • Des pouvoirs toujours aussi fous
  • L’intrigue globale reste pour l’instant bien cachée, malgré quelques bribes
  • Allez, on enchaîne sur la suite !

Sea Salt Paper

  • Pas attiré par l’esthétique, mais comme les amis de la Ludo’Sphère voulaient y jouer…
  • Un jeu de cartes tactique, de majorité
  • Un thème et une esthétique complètement plaqués.
  • Une course aux points rapide, qui permet d’enchaîner les manches.
  • Une mécanique de bluff/stop ou encore intéressante, qui permet de renverser une partie.
  • A jouer entre initiés du même niveau, parce que la connaissance du jeu et de ses combinaisons est impactante.
  • J’y rejouerai à l’occasion, sans forcément le chercher à tout prix

Betrayal at The House on the Hill

  • Un jeu qui m’intriguait par sa proposition : on explore une maison hantée, et à un moment donné, le jeu change du tout au tout et peut basculer en tous contre un, chacun pour soi ou encore mais qui est le traître ?
  • Une mécanique simple à mettre en place, et une première phase d’exploration fun avec les événements.
  • Le « switch » qui se déclenche un peu au hasard est bien amené. Et les scénarios ne cassent pas trop le semblant de narration de la première phase.
  • Le jeu caché (objectifs et règles spéciales de chaque camp) apporte une saveur particulière à la deuxième phase.
  • Parfois, les événements vont clairement en faveur d’un camp (une phase 2 résolue en deux jets de dés, parce que tout était réuni d’entrée).
  • On enchaînera pas les parties, mais on y rejouera avec plaisir.

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