J’ai lu, j’ai vu, j’ai entendu, j’ai joué #56

La revue culturelle irrégulière du blog va aujourd’hui parler de beaucoup de choses que j’avais « en cours » depuis quelques temps, et que j’ai enfin pris le temps de finir. Il y a aussi une nouveauté. Et je vais commencer par elle.

Fables, intégrale tomes 4 et 5

  • Un feuilleton toujours aussi agréable à parcourir, avec une continuité qui fait plaisir à suivre.
  • Le dessin est top… sauf parfois quand on en change. C’est très perturbant.
  • Des avancées franches dans l’intrigue générale, auxquelles je ne m’attendais pas.
  • C’est pas des plus joyeux. La guerre. Ses conséquences.
  • Boy Blue. Gobe-Mouches. Quelles histoires ! Quels beaux personnages !
  • Un petit malaise sur le « plan Israël » de Bigby, au vu de l’actualité

Le tome 6 est en tout cas en cours de lecture, et je remercie beaucoup le format Nomad, d’un point de vue pécuniaire mais aussi pour sa facilité d’accès et de lecture.

Wonder Woman : Dead Earth

  • Après Do a Powerbomb, je poursuis ma découverte de Daniel Warren Johnson.
  • Pas du tout l’histoire à laquelle je m’attendais.
  • Une découverte de Wonder Woman, personnage que je ne connais que très peu.
  • Un récit qui va vite, explore pleins de thèmes et de lieux, mais qui arrive à lier tout ça de manière maligne.
  • Un peu de mal avec les créatures étranges et leur origine, ça m’a un peu sorti du récit.
  • Une claque sur l’iconographie des personnages. Cette Wonder Woman dépote.
  • Agréable d’avoir un récit complet, sans tie-ins nécessaires.
  • Une histoire de famille, de responsabilités. Tragique, violente mais parfois touchante.

Supernatural saison 12

  • Après une longue pause, je retourne voir les Winchester.
  • Deux intrigues principales, c’était une de trop. Surtout qu’elles ont du mal à bien se mélanger.
  • Les Men of Letters britanniques, c’était une super chouette idée. Ca aurait dû être le focus principal de la saison. Certains développements sont allés trop vite.
  • Un casting secondaire charismatique, intriguant, mais qui tombe trop vite, comme des mouches.
  • Une final apocalyptique (What Else?) qui sert surtout à préparer la saison suivante. Le fait que cette intrigue du fils de Satan ait été trop diluée dans celle des chasseurs UK fait qu’on y est moins impliqué.
  • Sam & Dean, toujours top.
  • Il manque un ou deux épisodes vraiment iconiques, à part.

Super Sons

  • Nomad, le format parfait pour tenter des séries
  • Un récit complet qui est surtout une introduction, avec un mini-arc complet mais surtout un peu trop de rappels à des événements à découvrir ailleurs.
  • Deux personnages frais, intéressants à découvrir.
  • Une intrigue un poil complexe quand tout le contexte autour n’est pas connu (Lex « Superman » Luthor, la vie à la ferme, le virus…)
  • Un dessin très dynamique, très moderne.
  • Malgré tout, pas trop d’enthousiasme pour aller plus loin.

Cobra Kai, Saisons 3, 4 et 5

Comme pour Supernatural plus haut, Cobra Kai est une série que j’avais un peu laissé tomber. Parce que lors de la saison 3, suite à un voyage à Okinawa qui avait, je trouve, cassé le rythme, j’avais mis en pause. Et puis par un heureux hasard j’y suis retourné, j’ai enchaîné les épisodes, et me voilà à attendre la saison 6.

Sacré voyage que ce Cobra Kai. Un voyage nostalgique avec ces multiples personnages issus d’une série de films pour lesquels je n’ai aucune nostalgie. Kreese était un personnage intéressant, son retcon racontant son passé l’a rendu plus ambigu. Et puis est arrivé Silver, personnage d’abord dans l’ombre avant de prendre toute la lumière et de devenir le vilain principal.

A côté, Johnny et Daniel continuent de se chamailler mais réussissent (parfois) à unir leurs forces. Le karaté est au centre de tout dans la Valley (et ça exaspère les compagnes des deux protagonistes). Oui, il faudrait parfois appeler la police, mais non, on va plutôt se battre. C’est soap (je t’aime, moi non plus, on aurait dû se parler, pourquoi tu lui parles à lui, alors que t’es avec moi), et beaucoup des histoires d’adolescents tournent autour de ça.

Mais c’est sincère. C’est touchant. Il y a d’excellentes surprises. Des thèmes forts parfois traités avec justesse. Je sais ce que je vais regarder avec Cobra Kai, et c’est pour ça que je la regarde aussi. Elle me fait du bien. Oui, et les bastons déboîtent bien généralement.

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