Une maladie qui touche le plateau

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Cet article traite du jeu Pandemic – Legacy, et décris nos premières parties. Je vais essayer d’y empêcher les spoilers majeurs, mais certains éléments (mineurs, normalement) du jeu seront dévoilés.

Vous êtes prévenus !

Pandemic – Legacy est le dernier-né de la gamme Pandemic, anciennement connue sous le nom Pandémie. Ce jeu de plateau est un des premiers gros cartons en full coopératif. Et c’est un des premiers jeux modernes que j’ai acquis.

Legacy, donc. Comme Risk Legacy, sorti il y a quelques années déjà , et qui proposait, en plus d’un jeu Risk classique, de participer à  une campagne qui allait personnaliser le plateau de jeu et redéfinir certaines règles. On est dans le même cas de figure ici. Des autocollants vont venir personnaliser le plateau de jeu, des éléments vont évoluer, être détruits, déchirés, personnalisés.

Pour jouer à  ce jeu, il faut donc être prêt à  sacrifier des éléments de son jeu. Mais cela fait partie du jeu, tout comme on jette les feuilles de score d’Augustus une fois celles-ci remplies. Nous avons donc décidé, en famille, de se lancer à  trois dans la campagne de la saison 1 de Pandemic Legacy.

Janvier, on gère

Janvier : tout va bien

La première partie ressemble en tout point à  un Pandémie classique. On commence à  Atlanta, des villes sont infectées, et il faut traiter le virus. Sans trop en dévoiler, notre première partie s’est très bien déroulée. Le virus Jaune a vite été éradiqué, tout comme le rouge (qui n’est jamais apparu sur la table). Mais à  mi-partie, déjà , un événement majeur a eu lieu, provoquant un changement d’objectif (et la destruction de l’ancien). Je ne dévoilerai pas cet événement, mais il va impacter les prochaines parties.

Première destruction

Quelques autocollants de villes en crise sont collés ici ou là , mais la partie est plutôt bien maîtrisée. Et on la termine avec une Victoire ! Et donc des récompenses de victoire, des bonus de fin de partie (maladie plus facile à  éradiquer, personnages plus compétents, nouveaux événements aléatoires, …). Et on passe en Février …

Ryad en crise

Février : crise en Amérique du Nord

En février, les événements de janvier se poursuivent et des nouveautés de gameplay apparaissent, ainsi qu’un nouveau personnage les exploitant. On préfère rester sur les précédents. Et on se tape une grosse mise en place à  base de virus jaune (toute l’amérique du sud, ou presque, infectée d’entrée de jeu). On va là -bas s’en occuper.

Mais pendant ce temps, ça progresse aux Etats-Unis et au Canada, et d’un coup d’un seul, deux épidémies piochées en même temps, Chicago puis Montreal infectées, des éclosions en chaîne, des autocollants et une station de recherche détruite plus tard, on perd. Trop d’éclosions. Mais on pourra retenter février la prochaine fois, avec un meilleur financement.

Crise en Amérique du Nord !

Alors, ces premiers mois ?

Ces deux premières parties sont très positives. Le matériel de jeu est amélioré depuis la version de base, et pourra même resservir parfois (les cubes, les jetons vaccins). L’événement subi est clairement un gros changement dans le jeu, tout comme l’ajout de gameplay (la Quarantaine, peut-être présent dans une extension ?). Coller des autocollants n’a pas été difficile. Détruire une carte, un peu plus. Mais finalement, on se prend au jeu. Il faut juste, une fois lancé dans la partie, se rappeler quand les éléments spéciaux (Legacy) doivent être révélés. Le pion « Rappel » est une excellente idée.

Vivement la suite !

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