Voici ma revue de lecture/visionnage/écoute/jeu des derniers jours.
N’hésitez pas à commenter mes retours, à me proposer des choses proches ou qui pourraient m’intéresser dans les commentaires !
Generation Gone, tome 1
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Découverte totale dans les rayonnages de la médiathèque
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Des artistes (André Lima Araujo, Ales Kot) inconnus au bataillon, mais un pitch qui fait partie de mes marottes : "des jeunes avec des pouvoirs, menacés par les autorités"
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Très moderne. Avant d'obtenir leurs pouvoirs, le trio est déjà engagé, pour des raisons différentes pour chacun d'eux.
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Des pouvoirs intéressants
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Des militaires secrets et méchants, mais avec une personnalité
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Un éclatement intéressant de l'histoire à mi-chemin
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Gore
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Une conclusion surprenante, qui donne envie de poursuivre l'aventure
Batman Ego
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Pas un album "saga complète", mais un album hommage à Darwyn Cooke en fait
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L'histoire éponyme qui s'intéresse à la dualité Batman/Wayne est intéressante, mais pas si marquante.
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Un graphisme qui change, avec une vraie patte, très proche de la série animée
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Des épisodes annexes plus dispensables (celui autour de la bombe m'a vraiment pas accroché)
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Un album pas des plus palpitants
Le Bureau des Légendes, saisons 2 et 3
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Les épisodes s'enchaînent avec grand plaisir. Le rythme est mieux maîtrisé qu'en saison 1, et les cliffhangers accrochent vraiment.
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Des intrigues plus globales, mieux ficelées, plus tendues. On est moins dans le "Malotru's Show" (mais il est toujours au centre).
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Des personnages du Bureau très intéressants, qui évoluent.
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Des intrigues qui semblent réalistes, avec des situations très plausibles et très intégrées dans l'air du temps.
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Un dépaysement et des voyages dans de nouvelles contrées.
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De l'espionnage "bas niveau", bien retranscrit, avec son lot d'humain.
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Une saison 3 qui pourrait sonner comme la fin d'une époque, voire la fin de la série, avec un grand nombre d'arcs qui se ferment (mais il y a une saison 4, que j'ai commencé)
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Une bande-son vraiment réussie.
Deliverance
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Retour au cinéma des années 70. Une autre façon de concevoir les films.
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Un visionnage "de travail", parce que je bosse sur un jeu qui s'en inspire un peu.
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Une introduction franchement réussie. En deux scènes (le trajet en voiture, le "village"), on cerne tout de suite les 4 protagonistes.
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Des scènes cultes (le duel de banjo, la "truie", les rapides...)
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Un film presque naturaliste. Pas beaucoup d'effets sonores, une mise en scène très brute, avec de longs plans.
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Brut. Violent. Dérangeant.
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Ca dérape vite. Et ensuite, ça s'enchaîne.
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Le film ne cherche pas à tout expliquer. Il y a des flous. Et c'est tout aussi bien.
The Burning Room, Michael Connelly
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Encore et toujours, je reviens à Bosch
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Encore une fois, Bosch n'est toujours pas à la retraite, mais a encore un nouveau partenaire
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Encore une fois, une vieille affaire se retrouve mêlée à des histoires politiques de la bonne vieille Los Angeles
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Mais malgré tout, ça se dévore, encore une fois.
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Une plongée dans un pan de Los Angeles que je découvrais (les mariachis, la communauté latino...)
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Le personnage principal évolue, ses relations avec les autres aussi, et la ville et le travail évoluent aussi.
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L'usage à nouveau trop présent des armes à feu et de la mort de certains suspects gâche la fin.
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On y reviendra, à ce Bosch-verse.
Chew, volumes 3-4-5
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On les avale, on les enchaîne. Pas besoin d'attendre plusieurs mois entre chaque, comme à l'époque.
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Je redécouvre des intrigues que j'avais oublié, et c'est un vrai plaisir
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Certains personnages sont bien plus présents que dans mon souvenir
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Le dessin est toujours aussi kiffant, avec ces easter eggs, ces planches iconiques qui reviennent
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Des pouvoirs toujours aussi fous
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L'intrigue globale reste pour l'instant bien cachée, malgré quelques bribes
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Allez, on enchaîne sur la suite !
Sea Salt Paper
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Pas attiré par l'esthétique, mais comme les amis de la Ludo'Sphère voulaient y jouer...
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Un jeu de cartes tactique, de majorité
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Un thème et une esthétique complètement plaqués.
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Une course aux points rapide, qui permet d'enchaîner les manches.
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Une mécanique de bluff/stop ou encore intéressante, qui permet de renverser une partie.
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A jouer entre initiés du même niveau, parce que la connaissance du jeu et de ses combinaisons est impactante.
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J'y rejouerai à l'occasion, sans forcément le chercher à tout prix
Betrayal at The House on the Hill
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Un jeu qui m'intriguait par sa proposition : on explore une maison hantée, et à un moment donné, le jeu change du tout au tout et peut basculer en tous contre un, chacun pour soi ou encore mais qui est le traître ?
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Une mécanique simple à mettre en place, et une première phase d'exploration fun avec les événements.
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Le "switch" qui se déclenche un peu au hasard est bien amené. Et les scénarios ne cassent pas trop le semblant de narration de la première phase.
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Le jeu caché (objectifs et règles spéciales de chaque camp) apporte une saveur particulière à la deuxième phase.
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Parfois, les événements vont clairement en faveur d'un camp (une phase 2 résolue en deux jets de dés, parce que tout était réuni d'entrée).
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On enchaînera pas les parties, mais on y rejouera avec plaisir.