J'ai lu, j'ai vu, j'ai entendu, j'ai joué #52

Once & Future, tomes 4 et 5

Suite et conclusion de la série
Les enjeux sont montés, la Grande Bretagne est livrée à Arthur et aux créatures de légende
Un dessin toujours aussi dynamique dans les postures, avec de superbes personnages. Plus mitigés sur les grosses batailles, brouillonnes.
Une relecture des mythes très intéressantes, avec de belles surprises dans les apparitions.
Ca va parfois très loin, et c'est parfois confus (pour nous et pour les personnages) sur qui est qui.
Quelques arcs secondaires très bons (Jack, notamment)
Un beau final, qui arrive à bien conclure la majeure partie des arcs.
Un cadre de campagne parfait pour du Monster of the Week

Un classique ressorti par ma fille de la bibliothèque, pour découvrir les personnages
Une saga forte, au concept assez fou, et avec un magnifique dessin
Un événement global, mais la saga en elle-même arrive à être agréable de manière indépendante...
... si on connaît bien les protagonistes et leurs relations et situations à l'époque de la saga...
... ce qui manque dans l'édition Panini, un aperçu éditorial de ce qui a amené la saga, de ce qui suit.
Des scènes à l'impact fort, très fort (l'éveil de Peter Parker...)

Une suite directe de la saison 1, avec comme fil rouge la résolution du cliffhanger
Moins de casse et de cambriole, et un peu plus de noirceur
Lupin a toujours un coup d'avance (mais c'est dans le personnage)
Une fin qui clôt (définitivement ?) l'arc de la vengeance personnelle
C'est bien joué, bien réalisé, et le rythme est bien dosé.
Curieux de découvrir le troisième volet... (avec quels enjeux ?)

Une plongée dans l'enfer de la guerre des cartels
Un personnage central, campé par Emily Blunt, qui montre bien la difficulté d'agir
Une première partie étouffante, qui culmine avec la scène à la frontière.
Une réalisation soignée, faite de longs plans, de jeux de lumière, d'immersion.
Un scénario surprenant, auquel je ne m'attendais pas du tout.
Une brochette d'acteur parfaits dans leurs rôles respectifs.
Envie de pousser plus dans le cinéma de Villeneuve

Une bande originale de films... sans les films
Des thèmes synthés, très travaillés
Une ambiance 80s, 90s.
Des sons très marquants, qui amènent des images très filmesques. Oui, c'est le papa d'Halloween.
Parfait pour accompagner mon travail autour de Public Access.